REVUE DE TWEETS - Quand Sarkozy se compare à Racine...

26 Janvier 2016

Dans une librairie de Strasbourg, où il était venu présenter son livre La France pour la vie, Nicolas Sarkozy a signalé qu'il n'entendait pas accorder trop d'importance aux critiques négatives sur son livre, rapporte l'AFP. L'auteur classique du XVIIe siècle, Jean Racine, «a été très perturbé par les critiques quand il a sorti Phèdre. Les critiques sont oubliées, Racine non. Sans doute j'ai trop tenu compte des commentaires», a déclaré en toute simplicité l'ancien président.

Revue de tweets de personnes moqueuses, sceptiques... où défenseurs de l'auteur Nicolas Sarkozy (#LaFrancePourLaVie).

Le footeux

Il doit croire que Racine était un entraineur de foot qui a sorti son joueur Phèdre du terrain. https://t.co/KlpXHhHpUu
— Aloïs Navarro (@AloisNavarro) 26 Janvier 2016

La version "prof"

En tant que prof de lettres, j'étais content de voir Racine en TT. Puis, j'ai cliqué. pic.twitter.com/VJoworfaQu
— Professeur (@pro_fesseur) 26 Janvier 2016

Tragique

Donc, oklm, @NicolasSarkozy vient de se comparer à Racine. C'est parce que ton livre est aussi une tragédie..? pic.twitter.com/UEJYOtxZj8
— Vincent Lahouze ✍ (@TylerLedger87) 26 Janvier 2016

Le sondage

(à 20h30, ce tweet comptait 108 RT pour 9 J'aime...)

Sondage "littérature" : - RT pour Racine - J'AIME pour Sarkozy #Phèdre #LaFrancePourLaVie pic.twitter.com/GQ1tI6VE3l
— Antoine Adam (@Ant1Adam) 26 Janvier 2016

Une histoire de Jeans

Sarkozy se compare à Jean Racine. D'habitude, c'est plutôt Jean Rage.
— Ornikkar (@ornikkar) 26 Janvier 2016

Mais oui, qui a donc lu Racine ?

De tous les imbéciles qui ricanent dans Twitter, combien ont lu Racine depuis le bac français et combien l'auraient lu sans être obligés?
— jegoun (@jegoun) 26 Janvier 2016

Phèdre était un chien

Je n’ai pas fait ma scolarité en France, alors je sais pas : est-ce que Phèdre était le nom du chien de Racine ? https://t.co/V9hqwW5gOr
— Antonio A. Casilli (@AntonioCasilli) 26 Janvier 2016

On tenait quand même à rassurer les derniers sceptiques : c'était pour rire... (d'après l'entourage de Nicolas Sarkozy)